Es geht wieder los

Am Sonntag ist es wieder soweit.

http://www.routedurhum.org/

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und hier das 2002 video

http://www.routedurhum-labanquepostale.com/fr/s08_multimedia/s08p03_videos.php
 
Fein,

dann kann ich mir ja bald wieder Teile für meinen Tri aus der Biskaja fischen :D Kleinholz vorprogrammiert...!!!!

Grüße

Jens
 

Herbert Stammler

Vereinsmitglied
Teammitglied
Moin moin nochmal,

Le concombre masqué schrieb:
was sieht das "seltsam" aus?


Ei, Kaffee sieht's doch auch. ;) Da die vorderen zwei rechts haben irgendwie schiefe Masten... oder ist das die neueste Technik, noch mehr Wind bei noch weniger Schräglage abzukriegen? :D


Yeti schrieb:
3. Gedanke: Wie lange braucht wohl Groupama zum Ausparken? :eek:

Wartezeit? lang. :rolleyes:
Rangierzeit? kurz und nervenschonend, ist ja dann alles frei. :D :D :D

cu2all
Herbert
 

Stephan Ludwig

Moderator
Teammitglied
Yeti schrieb:
3. Gedanke: Wie lange braucht wohl Groupama zum Ausparken? :eek:
ich stell mir eher die Frage, wie lange die diesmal segeln bzw. wie weit die es diesmal schaffen bis das Boot auseinander fällt
 
Die Trimarane sind übrigens dieses Jahr mit einem "Antikenterungssystem" ausgerüstet. Der Skipper trägt am Handegelenk eine FB die auf Knopfdruck automatisch alle Segel fiert, das System löst sich auch bei zu grosser schräglage oder unterschneiden aus.

Auch sind die Grösse der Schwerter reduziert worden. Die Wetterlage beim Start ist dieses Jahr relativ schwachwindig, es liegt ein hoch über die Bretagne, erwartet werden 5-15 knts Wind, das schwierige wird wohl sein möglichst schnell aus dieser Zone herauszukommen .
 
erster Ausfall unter den 60 footer

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Die Tris haben nun das hoch durchfahren, gehalst und jagen seit 10 stunden mit 20-22 Knoten richtung azoren.

könnte gut sein daß der Rekord von 12 Tagen unterboten wird, Michel Desjoyeaux hat auf 10 tage getippt
 
FLASH : CHARLIE CAPELLE A CHAVIRÉ








Le trimaran de classe 3 Switch.fr a chaviré vers 13h00 aujourd'hui. Charlie Capelle est à l'intérieur de son bateau, sain et sauf. Il a déclenché sa balise avant de joindre le Comité de Course par téléphone pour dire que tout allait bien à bord. Il se trouvait à environ 200 milles dans le nord-ouest du Cap Finisterre au moment du chavirage. Le Cross Gris-Nez coordonne les secours. Luc Coquelin, mono classe 2, a été dérouté par le Comité de Course.
 
COMMUNIQUE DE PRESSE
COMMUNIQUÉ du 01/11/2006


Rappels à l'ordre




Charlie Capelle a chaviré ce midi et a été sauvé ce soir. Réfugié à l'intérieur de son petit trimaran Switch.fr, le navigateur va bien : il vient tout juste d'être récupéré, vers 17h, sain et sauf. C'est un autre concurrent, Philippe Legros, qui s'est porté à son secours au grand large du Cap Finisterre (Flash spécial à suivre dans une heure). La nuit dernière, Jean-Pierre Dick a heurté un mammifère marin avec son Virbac-Paprec et a dû se mettre à l'eau. Pascal Bidégorry (Banque Populaire), lui, a bataillé avec un problème de safran après avoir heurté un ofni, mésaventure sans gravité arrivée aussi au Géant de Michel Desjoyeaux. Le leader Lionel Lemonchois a avoué ce matin que dans le passage du front voilà 36 heures, il avait "bien failli se mettre sur le toit". Gilles Lamiré (Madinina) va s'arrêter aux Açores pour réparer son vît-de-mulet brisé. Autant de rappels à l'ordre. On ne traverse décidément pas l'Atlantique en solitaire comme on va chez son boulanger. Malgré des conditions inédites et idéales de vent portant, "le Rhum" reste une aventure.




Côté compétition, les pilotes des multicoques sont déjà en approche des Açores, toujours à grande vitesse : quatre bateaux sur 12 affichent des moyennes supérieures à 500 milles par jour ! En tête, le très solide Lionel Lemonchois (Gitana 11) est flashé à 28 noeuds et affiche ce soir une avance estimée à une soixantaine de milles sur ses trois plus sérieux rivaux du moment : Pascal Bidégorry (Banque Populaire), Yvan Bourgnon (Brossard) et Michel Desjoyeaux (Géant), tous trois dans un mouchoir de poche pour le fauteuil provisoire de dauphin. Mais la problématique du jour est surtout de trouver le bon dosage entre récupération, prise de risque et pilotage de haut vol. Chez les monocoques Imoca, Roland Jourdain (Sill et Veolia) tient tête à Jean-Pierre Dick et Jean Le Cam (VM Matériaux). En Classe 40, Gildas Morvan (Oyster Funds) a pris une légère avance sur Dominic Vittet (Atao Audio System). En multi 50, le Crêpes Whaou! de Franck-Yves Escoffier fait toujours cavalier seul.

Multicoques 60' Orma : Açores et pas tous à travers

Les trimarans Orma sont aux Açores, où on assiste à une première séparation de trafic, entre ceux qui vont passer à l'intérieur de l'archipel, au sud de Sao Jorge, et ceux qui vont les franchir au nord. Le premier groupe "inter-îles" est emmené par le solide leader Lionel Lemonchois (Gitana 11) à qui emboîtent le pas Yvan Bourgnon (Brossard, 3e à 59 milles) et Michel Desjoyeaux (Géant, 4e à 61 milles). Dans du vent d'est toujours soutenu de l'ordre de 20 à 25 noeuds, ça glisse fort - Lionel Lemonchois est flashé à 28 noeuds de vitesse instantanée - et parmi les quatre bateaux de tête, seul Géant affiche une moyenne légèrement inférieure à 500 milles par jour, alors que Gitana 11 n'a plus "que" 2300 milles à courir d'ici la Guadeloupe. "J'ai pris un ris car la mer s'est formée et il ne faut pas attaquer à 30 noeuds dans ces cas-là", expliquait Michel Desjoyeaux ce midi. Dans le groupe de ceux qui laisseront très probablement tout l'archipel à bâbord, on trouve le 2e de la flotte, Pascal Bidégorry (Banque Populaire), Franck Cammas (Groupama, 6e à 105 milles), et Thomas Coville (Sodeb'O, 5e à 76 milles). Sur Foncia, Alain Gautier pointe en 7e position à 148 milles et a encore le choix, même si sa route semble indiquer qu'il passera à l'intérieur des Açores. Dans une très courte liaison, Alain Gautier a indiqué que "les conditions étaient idéales pour la glisse", ce qu'Yvan Bourgnon a traduit de son côté par un révélateur : "je m'éclate comme un gamin!" Mais la problématique du jour est inhérente à la glisse et à la finesse de pilotage au bout de trois jours de mer sans avoir beaucoup dormi. Où placer le curseur-rythme sans friser la correctionnelle, comme n'a avoué qu'aujourd'hui le leader Lemonchois qui a bien "failli se mettre sur le toît" lors du passage du front mardi matin, mais n'a "pas eu le temps d'avoir peur". Côté météo, le flux d'est soutenu devrait tourner au nord-est en devenant plus instable cette nuit, imposant vraisemblablement aux trimarans un nouvel empannage vers l'ouest. Il y aura donc des décisions à prendre relativement rapidement. Rien n'est joué : à 20 noeuds de vitesse, une avance de 60 milles ne représente que 3 heures. Pas grand chose à l'échelle Atlantique. A noter encore que Gilles Lamiré, 12e et dernier des grands trimarans, va s'arrêter aux Açores pour réparer sont vît-de-mulet brisé.

Monocoques Imoca

La course bat son plein chez les monos 60 pieds, actuellement bien au large du Cap Finisterre. Leader lors des deux premiers classements lundi matin, Roland Jourdain (Sill et Veolia) s'était ensuite fait subtiliser la première place par Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec), qui est resté près de 48 heures aux avant-postes. Cette nuit, Roland Jourdain a prolongé son bord plus à l'ouest que son adversaire direct qui est parti vers le sud. Conséquence, Bilou est repassé en tête et ne cesse depuis de creuser son avance. Une mésaventure survenue à Jean-Pierre Dick l'y a un peu aidé aussi. Le skipper de Virbac-Paprec a heurté un objet mou en début de soirée mardi. Stoppé de 15 à 4 nœuds, Jean-Pierre Dick n'a pas réussi dans un premier temps à se défaire de cet objet encombrant – peut-être un mammifère marin ? – et a plongé sous la coque sans résultat (voir ils ont dit). A 17-18 nœuds de moyenne, le rythme est de plus en plus élevé et les écarts se creusent rapidement. Brian Thompson (Artemis), 4e, pointe à près de 100 milles du nouveau leader alors que Philippe Fiston (Adriana Karembeu Paris), dernier des dix monocoques encore en course, accuse déjà 300 milles de retard. Le Guadeloupéen a annoncé aujourd'hui ne plus pouvoir affaler son gennaker, désormais roulé et fixé le long du mât. Il pense faire escale vendredi aux Açores pour pouvoir monter en tête de mât décoincer la voile.

Monocoques Classe 40

Ce mercredi après-midi, Gildas Morvan est toujours en tête de la flotte des Classe 40 - avec désormais 19 milles d'avance sur Dominic Vittet - qui fait actuellement route directe vers le nord des Açores, poussée par une bonne brise d'est soufflant entre 20 et 25 noeuds. Dans la soirée, les conditions devraient continuer de fraîchir. Une perspective loin de déplaire aux skippers d'Oyster Funds et Audio Atao System qui se livrent une belle bagarre depuis 24 heures. A noter par ailleurs que Marc Lepesqueux, qui avait annoncé hier soir son abandon suite à la casse de son safran bâbord, a finalement décidé de reprendre la course. Le skipper de Siegenia - Aubi quittera Brest dès que son nouvel appendice sera installé.

Multicoques Classes 2 et 3

Multi Classe 3 : dans une heure flash spécial sur le sauvetage de Charlie Capelle.
Multi Classe 2 : Il cavale Franck Yves Escoffier sur son trimaran 50 pieds Crêpes Whaou !, le vent, trois quart arrière, le pousse sur la route directe à des vitesses atteignant 25 nœuds. Derrière, Trilogic (Eric Bruneel) ne lâche rien, même si les écarts commencent à se creuser (125 milles ce matin).

Monocoques Classes 1, 2 et 3

Mono Classe 3 : Michel Kleinjans, le skipper flamand garde le leadership Régis Guillemot (Charter Régis Guillemot Martinique) est toujours à la poursuite de Michel Kleinjans (Roaring Forty) qui le distance de peu (12,7 milles à 16 heures).
Mono Classe 2 : Chez les monos Classe 2, l'Américain Kip Stone (Artforms) augmente continuellement son avance sur Servane Escoffier (Vedettes de Bréhat Cap Marine) et les deux autres concurrents de cette classe.
Mono Classe 1 : Pierre Yves Guennec toujours en tête Jeunes dirigeants porte bien son nom, puisque depuis le départ de la Route du Rhum – La Banque Postale, le monocoque de Pierre Yves Guennec n'a pas quitté la tête de sa flotte. Derrière, son ami Dhallenne (TAT Express) piaffe tandis que l'écart se creuse (35,9 milles à 16 h).

Les échos du large

Yvan Bourgnon (Brossard): "Je m'éclate comme un gamin! C'est incroyable d'avoir une météo aussi favorable, c'est du bonheur de barrer, j'ai fait des pointes à 32 noeuds, on a le père Noël avant l'heure! On n'est vraiment pas loin de mener la machine à son maximum, car la mer est maniable. Je me sens en pleine forme. La course est loin d'être jouée, pour l'instant il faut juste aller vite."

Pascal Bidégorry (Banque Populaire) : "C'était une nuit à fond la caisse et il faut faire gaffe, je vous rappelle qu'on est seuls sur les bateaux et même si on commence à bien les connaître, il vaut mieux être vigilant. Il faut aussi savoir se reposer un peu car le rythme est élevé. J'ai eu une belle galère cette nuit sur le safran central, j'ai du heurter je ne sais quoi et je n'arrivais plus à le redescendre, j'ai bien du mettre deux heures à régler l'affaire mais maintenant ça va. Lionel (Lemonchois) a coupé le fromage, a un bateau qui permet d'aller vite en sécurité. Je suis content pour lui. Qu'il fasse gaffe, la route est encore longue "

Michel Desjoyeaux (Géant) : "On glisse bien au portant, c'est un bon moyen d'aller rapidement aux Antilles boire un ti'punch! Il y aura un petit coup à jouer peut-être dans 24 heures. Ce matin on a eu quelques belles heures dans une mer plate qui permettait de glisser, mais la mer s'est un peu formée et j'ai pris un ris. J'ai juste eu une petite alerte car j'ai heurté quelque chose cette nuit, un gros poisson ou une tortue, un truc comme ça, mais sans dommage. Il commence à faire meilleur, 20 degrés dehors, 18 degrés dans l'eau et c'est bien agréable, mais ce n'est pas vraiment le moment d'aller se baigner."

Roland Jourdain (Sill et Veolia) : « La vie à bord est un peu rude. Hier soir, j'ai eu un coup de mou parce que j'ai pas mal bossé en enchaînant les empannages et les manœuvres… le spi, le gennak... Le vent est très variable (18 – 25 nœuds), la mer un peu formée. Faut faire gaffe au matériel… Cette nuit, je n'ai pas barré. Je suis resté pas loin des écoutes pour être prêt à choquer. »

Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec) : « J'étais en train de passer du spi au gennaker et j'ai heurté un objet mou… Le bateau s'est arrêté et n'avançait plus à sa vitesse. Je me suis alors mis bout au vent pour reculer mais j'ai quand même dû plonger. Heureusement que j'avais une lampe étanche pour éclairer la quille. Lorsque je suis descendu, la chose ou l'objet avait disparu. J'ai perdu pas mal de temps dans la manœuvre mais c'était quand même la solution la plus rapide d'aller voir. Le safran est intact, mais j'ai des petits impacts (peinture éraflée).
Ça m'a pas mal perturbé. Au final, je ne sais pas ce que c'était… Un requin ou un gros poisson certainement… Dans ces moments-là, il faut agir ! Tu ne vas pas rester toute la nuit comme ça ! J'avançais à 3-4 noeuds et j'avais l'impression de traîner un âne mort sous le bateau ! Je n'avais jamais plongé la nuit. C'est sûr, faut pas le faire tous les jours. C'est quand même fatiguant et surtout, perturbant. Je n'ai pas pu aller me reposer et bilan, je suis vanné ! »

Armel Le Cleac'h (Brit'Air) : « Je prend mes marques ! C'est vrai que j'avais déjà pas mal navigué sur le bateau pour la qualif mais je ne sais pas encore utiliser toutes les voiles… Il faut trouver la bonne mesure mais cela va de mieux en mieux au fur et à mesure que la course avance. Il faut s'accrocher au premier en tenant le rythme imposé tout en maintenant l'écart avec les poursuivants. »

Jean Le Cam (VM Matériaux) : « C'est clair que là on fait de bonnes moyennes ! Ce ne serait pas plus mal de barrer mais on ne peut pas le faire 24h/24 ! Mieux vaut bien régler le pilote pour dormir, manger, faire la météo… C'est une éternelle remise en question à chaque classement… Tu te dis à chaque fois, pourvu que le pilote tienne ! C'est clair que ce n'est pas une situation de plénitude totale ! Je ne suis pas assis serein à la table à carte pour vous parler !»

Gildas Morvan (Oyster Funds) : " Je fais avancer le bateau comme je peux. Je ne dors pas beaucoup. Je suis à la barre et aux réglages et j'essaye de me reposer quand les conditions sont faciles. Hier, il a fallu pas mal attaquer parce qu'on est passé du près au bon plein et du bon plein au reaching. Il a aussi fallu beaucoup manoeuvrer mais dans l'ensemble, j'ai bien navigué. Il y a eu pas mal de boulot et il a fallu soigner la trajectoire. "

Dominic Vittet (Audio Atao System) : " Je pense que le meilleur est à venir parce que cela devrait fraîchir en fin de journée. Ce soir, ça va débouller mais je suis prêt, le bateau est rangé, matossé. J'ai préparé les réductions de voilures, etc... Ca va chauffer ! D'autant que j'ai dormi comme un malade la nuit dernière. J'ai enquillé les siestes en prévision d'aujourd'hui et demain où ça va être beaucoup plus venté."

Jacques Fournier (Nous entreprenons) : " Ce matin, on a un vent bien établi à 20-25 noeuds : de quoi descendre sur une route quasi directe. Total, le moral est bon, ce qui n'était pas forcément vrai ce matin. J'avais l'impression que tout était perdu. Mais il reste encore de la route à faire. Rien n'est encore joué. "

Gwenc'hlan Catherine (Tchuda Popka 2) : " J'ai bien dormi cette nuit. Un peu trop même. Cela se voit d'ailleurs au classement de ce matin. J'ai perdu beaucoup de milles par rapport à la tête de course. Je suis un peu déçu parce qu'hier, j'avais bien attaqué et j'étais même revenu sur les premiers. Sinon ma main va bien (Gwen s'est fracturé un métacarpe à la main gauche lors d'une séance d'entraînement à Lorient, 15 jours avant le départ). Malgré tout, cela m'a un peu handicapé. Cette nuit notamment, j'avais un peu peur de renvoyer de la toile. Il faut dire que les manoeuvres commencent à être chaudes ! ".
 
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