Loick Peyron meint:
Joint au téléphone à 10h30, Loïck Peyron faisait le point sur la situation :
« Là, c'est comme sur la couverture du livre d'Adlard Coles « Navigation par gros temps ». C'est blanc, blanc, blanc. Ca déferle partout, il y a des creux entre 6 et 10 mètres. Il y a vraiment des gros paquets et je pense que c'est ça qui a cassé le flotteur au vent (il s'agit du flotteur, tribord, cassé en son milieu, entre les deux bras de liaison, ndlr). Ca m'a projeté en l'air et j'ai cru qui « j'y allais », à sec de toile. Je ne peux pas me mettre en fuite, car j'irais trop vite. Maintenant, le tout est de savoir quand et où ça va casser exactement au niveau du flotteur et du bras de liaison avant car il ne faudrait pas que le mât tombe. Il va falloir que j'aile assurer le mât. Sinon, l'homme va bien. Mes jambes vont bien, et il est impératif que ma tête aille bien, car je vais avoir beaucoup de boulot ces prochaines heures. »
im groben
" es sieht hier so aus wie auf dem Buch von adlard Coles "Schwerwettersegeln", Hier ist alles weiss, weiss, weiss..wellen 6-10 meter brechen über das Boot und haben den steuerbord Schwimmer in der mitte zerissen
, segeln hatte ich da keine drauf, ich kann nicht mal vor dem Wind laufen, denn auch da würde ich schon zu schnell laufen, Auf einen Bug kann ich noch segeln, muss aber den Mast noch absichern, da der Schwimmer irgendwann ganz brechen wird.
Mir geht es gut etc